Je dois avouer que l’écriture m’a isolé du monde. J’écris cinq ou six heures par jour, sept jours sur sept. Et toute l’année, sans répit. C’est le piège de l’écriture qui donne tant de plaisir et en même temps place l’écrivain dans une bulle. Mais ailleurs, il y a parfois ce moule immuable, de gens…Continue reading J’écris sans répit