Cette crise existe réellement. Nous nous enveloppons de nos rôles d’automates. Nous avons déjà ce statut de spectateurs invétérés. Nous ingurgitons sûrement trop de mensonges. Oui, nous sommes aspirés par une sorte de culture infantilisante déversée par les médias. Crise culturelle, dirais-je. Et nous optons pour la facilité, l’absorption de ces avalanches d’émissions médiocres ! Bien sûr, nous dressons l’argument facile aussi, la fatigue, le rythme d’une journée drainant cette lassitude qui nous mène droit vers le petit écran. Et là, tout s’engouffre dans notre cerveau…
Didier