La mer n’est jamais loin de moi,
Et toujours familière, tendre,
Même au fond des plus sombres bois
A deux pas elle sait m’attendre.
Même en un cirque de montagnes
Et tout enfoncé dans les terres,
Je me retourne et c’est la mer,
Toutes ses vagues l’accompagnent…
Jules Supervielle