Lorsque faire mal et avoir mal n’existent plus, je pense qu’on peut parler d’immoralité.
Lorsque faire mal (que se soit physiquement ou psychologiquement) est hissé à un statut de *bon-beau-bien », je pense qu’on peut parler d’immoralité. Lorsqu’à l’inverse, le lecteur est pousser a considéré aimer, donner, etc comme étant mauvais, mal, implicitement ou plus ouvertement, je pense qu’on peut parler de livre immoral.
Et plus la façon de faire est détournée, imperceptible, plus le lecteur se fera manipuler, prendre au piège d’appeler « mal » ce qui est bien, et d’appeler « bien » ce qui est mal ….
Ce qui n’est pas confronter le lecteur à ses propres sentiments par différents jeux, mais bien sournoisement le pousser à « casser en lui », l’amour qu’il pourrait encore éprouver pour les autres …….
Lorsque faire mal et avoir mal n’existent plus, je pense qu’on peut parler d’immoralité.
Lorsque faire mal (que se soit physiquement ou psychologiquement) est hissé à un statut de *bon-beau-bien », je pense qu’on peut parler d’immoralité. Lorsqu’à l’inverse, le lecteur est pousser a considéré aimer, donner, etc comme étant mauvais, mal, implicitement ou plus ouvertement, je pense qu’on peut parler de livre immoral.
Et plus la façon de faire est détournée, imperceptible, plus le lecteur se fera manipuler, prendre au piège d’appeler « mal » ce qui est bien, et d’appeler « bien » ce qui est mal ….
Ce qui n’est pas confronter le lecteur à ses propres sentiments par différents jeux, mais bien sournoisement le pousser à « casser en lui », l’amour qu’il pourrait encore éprouver pour les autres …….