Pour le marcheur au long cours, l’écriture est le plus intense moment d’apaisement. Le point d’orgue posé sur la portée du jour. Les muscles se reposent sur le cahier. L’esprit se réfugie dans l’agréable fouille de la mémoire. Sylvain Tesson
Pour le marcheur au long cours, l’écriture est le plus intense moment d’apaisement. Le point d’orgue posé sur la portée du jour. Les muscles se reposent sur le cahier. L’esprit se réfugie dans l’agréable fouille de la mémoire. Sylvain Tesson