Nos silences

Nos silences se partageaient Mozart nous naviguions entre Brassens et Barbara Quand nos regards réconciliés lisaient à l’unisson la quête d’amour inachevée de René Char une fin de saison un printemps une odeur devenue senteur suffisaient à notre faim un vers d’Eluard apaisait notre soif.Jacques Salomé

Ne pas oublier

Ne pas oublier ceux qui furent immondes, les imbéciles et les salauds, mais se tourner plutôt vers ceux qui, comme l’”Auvergnat” de la célèbre chanson de Brassens, m’ont “donné quatre bouts de bois Quand dans ma vie, il faisait froid” Philippe Labro