La nuit

Je lis la nuit, jusqu’à trois, quatre heures du matin : l’obscurité, le noir autour de soi, ça ajoute beaucoup à la passion absolue qui s’établit entre le livre et nous. Vous ne trouvez pas ? La lumière du jour disperse les intensités en quelque sorte. Marguerite Duras

En marchant

Dès que l’on marche quelque temps, sans but précis et à son rythme, on se surprend à chanter ou bien à siffloter. Le marcheur est joyeux sans raison particulière mais du simple fait qu’il respire largement, qu’il renoue avec son corps et qu’il accorde de l’attention au monde qui l’entoure. Plus il avance et plus…Continue reading En marchant