La première phrase d’un roman est le cri irréfléchi qui provoque l’avalanche…C’est l’étincelle qui déclenche la réaction en chaîne…Une première phrase n’est jamais innocente. Elle contient le germe de toute l’histoire, de toute l’intrigue. La première phrase est comme l’embryon de tous les possibles, comme un spermatozoïde chanceux, si vous voulez bien me permettre cette comparaison.
Matéi Visniec