À Trouville, la mer est là. De nuit et de jour, même si on ne la voit pas, l’idée est là. À Paris seules les journées de vent et de tempête nous relient à la mer. Autrement on est sans elle.
Ici nous sommes plongés dans le même paysage.
Au-delà de chaque colline il y a ce grand vide au loin. À la place où elle est le ciel est différent, plus creux, plus éclairé, on pourrait dire : plus sonore. Et c’est vrai, les mouettes font moins de bruit dans la ville qu’au-dessus de l’eau, des plages.
À Trouville, je supporte la vie. À Paris, non.
Marguerite Duras
bonjour Didier effectivement ce n’est pas comparable .bonne fin de journée à vous:)