J’étais habitué à ces longues journées de silence. Et j’aime le silence. J’aime le vide. J’aime le ciel. J’aime les déserts, cette immobilité, cette solitude. Je ne me pose jamais la question de savoir ce que je fais là et pourquoi j’y suis et pour combien de temps. Certes, j’ai souffert. Mais avec les autres, on souffre toujours.
Franz Bartelt