Peut-être parce qu’il y a quelque chose de la solitude, quelque chose du passage du temps dans la vie, qui n’est pas complètement accepté. Alors on ouvre des livres, parce que c’est une occupation qui vous prend et qui vous met dehors. Qui vous met dehors…. et qui vous met dedans. C’est très ambigu, la lecture.
Marie de Solemne