Ni les humains, ni les chiens ne reviennent nous hanter : ce qui nous poursuit c’est le temps qu’on ne leur a pas donné, les occasions perdues, le souvenir des attentes auxquelles on n’a pas su répondre.
Didier Van Cauwelaert
Ni les humains, ni les chiens ne reviennent nous hanter : ce qui nous poursuit c’est le temps qu’on ne leur a pas donné, les occasions perdues, le souvenir des attentes auxquelles on n’a pas su répondre.
Didier Van Cauwelaert