Je me dis que finalement, c’est peut-être ça la vie : beaucoup de désespoir mais aussi quelques moments de beauté où le temps n’est plus le même. C’est comme si les notes de musique faisaient un genre de parenthèse dans le temps, de suspension, un ailleurs ici même, un toujours dans le jamais.
Muriel Barbery
L’idee de beaucoup de désespoir me surprend. Est-ce l’influence des médias actuels qui engendre ça ? Donc la pensée est en butte à la manipulation super organisée. C’est réel donc.
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