Dans le murmure des feuilles qui dansent, il y a surtout les petits bouts d’âme de ceux qu’on aime mais qu’on ne peut plus prendre dans ses bras.
Agnès Ledig
Dans le murmure des feuilles qui dansent, il y a surtout les petits bouts d’âme de ceux qu’on aime mais qu’on ne peut plus prendre dans ses bras.
Agnès Ledig
La mémoire fait comme le tapis de feuilles à l’automne. Mais celles qui émergent de ce tapis correspondent parfois à de la nostalgie.
J’ai lu ça mais je n’ai pas envie de prendre dans mes bras tous ceux et celles que j’ai aimés. J’ai le sentiment d’avoir établi un lien avec eux qui n’a plus rien de physique.
C’est toujours une plage offerte ou ouverte ! Sympa et débordant.
Décidément ces tapis de feuilles me pourchassent, insistent. Un signe peut-être !
Les commentaires sont ici possibles à l’infini. Pas mal, ça débridé mon imagination !