Existe-t-il un mode de lecture, de relecture (de la ) qui permettrait de préserver ce caractère d’immédiateté, ce côté insondable, énigmatique, qui constitue par ailleurs la vie ? Existe-t-elle, cette opération complexe d’endossement qui consiste à recréer et par conséquent à réparer et à rendre éternellement présent ?
Paul Nizon