Je n’oublie pas mon enfance. Je n’oublie pas ces rues où je traînais mon insouciance et mes affres. Je n’oublie pas ce premier pas vers l’écriture. Je n’oublie pas les mots des autres, leurs histoires avec la peur, des trains, des camps…l’espoir, le courage. Je n’oublie pas les poètes. Je n’oublie pas pour vivre et survivre.
Didier
N’oublies jamais rien surtout et continues d »écrire !
J’étais de passage.
Bonne soirée
N’oublies jamais rien surtout et continues d »écrire !
J’étais de passage.
Bonne soirée