Mais d’autres rêves, d’autres amours, prendraient le relais tôt au tard. Et c’était peut-être ça, le plus triste : pleurer une histoire tout en sachant pertinemment que d’autres finiraient par s’écrire, signe que celle-ci n’était finalement pas aussi singulière, ni aussi extraordinaire qu’on brûlait de le croire.
Pauline Perrier