On finit par répondre qu’on est là, faire signe parmi nos absences ne plus fuir la mémoire de certaines failles qui blessent plus que d’autres
On finit par s’ouvrir au silence qui revient et ne plus répondre au bruit des pas, ne plus croire qu’on a aimé, soutenu un instant la beauté de notre vie
On finit par sentir le temps qui replie nos regards lentement les referme, comme une blessure dont on ne sait plus parler
Hélène Dorion
tellement vrai! j’adhère:) merci Didier.