Il est trois heures du matin. J’écris. J’écrirai jusqu’à l’aube…jusqu’à dix heures, midi… Je l’ignore. Parfois j’oublie la fatigue. Les mots m’entraînent sans égard pour mon manque de sommeil. Je m’aggrippe à ce qui me reste d’énergie afin d’écrire encore.
Didier
Souvenirs