Vous aimez les récits bien bouclés, avec un début, un milieu et une fin. Moi, la fin des histoires, des romans, ne m’a jamais intéressée. J’ai toujours préféré l’imaginer. J’aime penser que les choses peuvent finir autrement. Ou ne pas finir. J’aime bien les livres qui commencent par la fin. Après, cap à l’aventure. La fin, on s’en fout. On la connaît la fin, la vraie fin. Elle est programmée dès la conception. Quiconque a un début court vers sa fin. Vous connaissez la vôtre, la mienne… Tout est question de temps et de calendrier.
Michèle Gazier