Prendre son temps est une subversion du quotidien, de même la longue plongée dans une interiorité qui paraît un abîme pour nombre de contemporains n’habitant plus que la surface d’eux-mêmes et en faisant leur seule profondeur. Le recours à la forêt, à la montagne, aux sentiers, est une échappée belle pour reprendre son souffle, affûter ses sens, renouveler sa curiosité, et connaître des moments d’exception bien éloignés des routines du quotidien.
Antoine de Baecque
belle réflexion merci Didier