Que le lecteur souffre de sa lecture autant que l’auteur souffre de son écriture, pour peu que l’on perçoive que la souffrance transmise par les mots n’est pas un mal, au contraire.
Céline Lapertot
Que le lecteur souffre de sa lecture autant que l’auteur souffre de son écriture, pour peu que l’on perçoive que la souffrance transmise par les mots n’est pas un mal, au contraire.
Céline Lapertot
Je n’arrive pas à me convaincre que la souffrance de l’auteur soit comparable à celle du lecteur. Mais pourquoi donc s’obnubile-t-on tant sur la souffrance que sur le contenu ? C’est de saison ?