Mélancolie

Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie Berce de doux chants Mon coeur qui s’oublie Aux soleils couchants. Et d’étranges rêves, Comme des soleils Couchants sur les grèves, Fantômes vermeils,  Défilent sans trêves, Défilent, pareils A de grands soleils Couchants sur les grèves. Paul Verlaine