Tu es tellement belle…je vois des larmes sur les volcans de ton âme, des incertitudes ciselées sur l’affluent de tes silences Didier

Elle se balade dans les ruelles de la duplicité…soudain elle s’arrête devant la porte de la clairvoyance Didier

Ce lien entre elle et moi, c’est un petit sentier reliant les espaces blessés de nos âmes Didier

Se revoir, c’est possible…Oublions le torrent futile des malentendus ! Près de la rivière du désarroi, tu es si belle… Didier

Dans ses yeux, il y a le désarroi et le combat, l’amour et le précipice, la tendresse et les océans… Didier

La véritable élégance, c’est la droiture morale. Elle n’est pas à la mode. La fourberie, elle, a le vent en poupe. Didier

Si belle, fragile, obstinée aussi,…chaque nuit je me perds habilement entre son âme et son corps…jusqu’à l’aube. Didier

 » Le vrai philosophe doit toujours s’étonner  » Berthelot Brunet

Observez ! La duplicité domine. C’est l’hégémonie de la duplicité. Elle coule à flots…pourtant on peut rencontrer la sincérité, quelque part, chaque jour… Didier

Mes mots se posent, imprégnés jusqu’à la ciselure, de nostalgie, d’illusions, de solitude. Ces mots après une pause, retrouvent les volcans vulnérables de ma muse. Didier