Tiens une idée ! Remarquez cela me trotte dans la tête depuis une décennie, enfin une idée qui serpente comme ça, s’évanouit, revient, s’échappe et là le temps passe avec ses soucis alignés au garde à vous, et l’idée resurgit, narquoise ou venant se poser sur une paroi de mon cerveau comme un signal d’alarme, et après tout, pourquoi pas…je me dirige vers mon ordinateur, je tape » Atelier d’écriture à Paris » et je découvre l’atelier d’écriture autobiographique »La tentation d’écrire »
Extrait d’une séance
Je pense que chacun de vous a une idée sur la manière d’animer un atelier d’écriture. Toutefois notre espace de travail se singularise de l’atelier traditionnel. Je ne suis pas trés favorable aux méthodes. L’essentiel, c’est l’état d’esprit. Il faut avoir envie d’écrire. Et l’envie nous renvoie à une source, à ce qui nous guide. L’envie, on la réveille parce qu’elle est là, tapie au fond de nous. Nous aborderons en fin de programme, les méthodes, le style… Nous allons inverser les schémas et commencer par aller chercher un déclic.
Je conçois l’atelier comme un terrain expérimental pour chacun. Il s’agit d’une rencontre avec ses émotions, son histoire… On oublie le talent, l’élite, la forme, pour le moment… on va gommer cette appréhension par le rapport à l’écrit.
Les mots sont blottis, comprimés dans notre mémoire. En fait, tout est relié au manque de confiance. On ne va pas se polariser sur l’exercice en temps limité. On va plutôt chercher une manière personnelle d’entamer ce travail d’écriture
Vous parviendrez à écrire une page par jour. C’est possible pour chacun des participants. Voilà l’objectif !
Aucune contrainte, aucune orientation. Mais vous allez découvrir un nouveau rapport à la page blanche… »
Vous avez l’habitude de narrer, rapporter, d’alléguer, de conclure ou déduire. Vous passez du temps à bavarder, tancer, et, devant une page blanche, vous êtes figés devant l’obstacle… un blocage, n’est-ce pas…
Si vous tentiez d’affronter cette difficulté comme on prend un problème à bras-le-corps ! Nous allons nous concentrer sur la source de cette appréhension
L’écriture est liée, même scellée au doute. On a peur de se lancer. Mais l’écriture n’est pas seulement réservée à une élite. On a peur d’un manque de vocabulaire, du manque de temps. Mais on peut se laisser guider vers les émotions, le ressenti. La notion de temps va s’estomper. Tout obstacle se dissout quand on est dans l’état d’écriture.
Nous sommes encore jeunes dans nos têtes, et notre mémoire est vivace. A propos de mémoire, ce parcours d’une vie jusqu’à ce que le mot senior résonne comme une alerte, ce parcours ne pourrait-il pas être transmis à nos enfants, petits-enfants ? Une transmission si précieuse, n’est ce pas…Seulement par où commencer ? Par les chemins de l’enfance ? L’exercice semble trop ardu…tant d’anecdotes, tant d’expériences à livrer à l’état brut puis il faudra trouver un certain style…et le temps manque car au fond nous sommes toujours occupés, ligotés aux soucis ou même à la nonchalance…velléités, manque de confiance aussi, bref nous remettons à plus tard cette tentation d’écrire…
Je vous propose de participer à un atelier d’écriture autobiographique…vous allez découvrir un concept d’écriture, original, efficace et, en outre, pour une somme modique
L’atelier d’écriture autobiographique
Lieu : PARIS 12 ème
Contact : Didier au 06 81 94 24 56
ATELIER D’ÉCRITURE AUTOBIOGRAPHIQUE-L’ART D’ÉCRIRE
http://latentationdecrire.com/accueil-4/latelier-decriture-autobiographique/