Trop chaud…Mon corps se courbe, je marche à petits pas…impossible d’en découdre avec la chaleur qui m’oppresse, toutefois les mots qui creusent un canal dans ma torpeur, restent vivifiants…
Didier Celiset
Trop chaud…Mon corps se courbe, je marche à petits pas…impossible d’en découdre avec la chaleur qui m’oppresse, toutefois les mots qui creusent un canal dans ma torpeur, restent vivifiants…
Didier Celiset