Je n’ai jamais aimé les aéroports. Tellement bondés, tellement vides. Je préfère les gares où il reste du temps pour les larmes et agiter les mouchoirs. Les trains démarrent lentement, en soupirant, en regrettant de partir. L’avion a des hâtes qui ne sont pas humaines.
Mia Couto (La confession de la lionne)
« L’avion a des hâtes qui ne sont pas humaines », c’est joli ça !