Etre à la merci de quelqu’un, voilà qui enlève au mot toute son urbanité et ramène le corps social dans la féodalité, où nous nous voyons malgré nous taillables et corvéables à merci.
Camille Laurens (Le Grain des mots)
Etre à la merci de quelqu’un, voilà qui enlève au mot toute son urbanité et ramène le corps social dans la féodalité, où nous nous voyons malgré nous taillables et corvéables à merci.
Camille Laurens (Le Grain des mots)