Quand j’ai le vertige, je m’approche du vide. Pas par masochisme mais parce que c’est le moyen de me contraindre à ne pas céder à mes faiblesses. On ne peut vivre qu’en dominant ses peurs. Pas en refusant le risque d’avoir peur.
Nicolas Hulot
Quand j’ai le vertige, je m’approche du vide. Pas par masochisme mais parce que c’est le moyen de me contraindre à ne pas céder à mes faiblesses. On ne peut vivre qu’en dominant ses peurs. Pas en refusant le risque d’avoir peur.