Rien de ce que nous faisons n’est réellement altruiste : nous agissons toujours pour avoir des bénéfices secondaires psychiques. Augmenter notre production cérébrale d’endorphines est notre seul moteur. Mais ce constat troublant ne doit pas conduire à être misanthropes et cyniques : ce n’est pas parce qu’on est altruiste par égoïsme neurobiologique qu’il ne faut pas l’être.
Laurent Alexandre