Ce sont des liens invisibles qui nous attachent aux autres – aux morts comme aux vivants – ce sont des promesses que nous avons murmurées et dont nous ignorons l’écho, des fidélités silencieuses, ce sont des contrats passés le plus souvent avec nous-mêmes, des mots d’ordre admis sans les avoir entendus, des dettes que nous abritons dans les replis de nos mémoires.
Delphine de Vigan
Finalement, c’est par les liens que je crée que je suis libre ! 🙂