Parfois, il me semble que les femmes sont des tremplins vers le fabuleux. De la littérature guérisseuse qui fond dans un même souffle drame futile et comédie sérieuse. Écrivaines pour la plupart non pratiquantes, toutes produisent de la prose intérieure destinée à tromper leurs déceptions et à soigner leurs rêves. (…) Alexandre Jardin
Jour : 22 janvier 2020
Vivant
Il n’y a rien qui justifie un bonheur idéal, comme il n’y a rien qui justifie un amour parfait, absolu, ou un sentiment de foi totale, ou un état de santé perpétuelle. L’absolu n’est pas réalisable : cette mythologie ne résiste pas à la lucidité. La seule vérité est d’être vivant, le seul bonheur est…Continue reading Vivant