Nos silences
se partageaient Mozart
nous naviguions
entre Brassens et Barbara
Quand nos regards réconciliés
lisaient à l’unisson
la quête d’amour inachevée
de René Char
une fin de saison un printemps
une odeur devenue senteur
suffisaient à notre faim
un vers d’Eluard
apaisait notre soif.
Jacques Salomé
bonjour oui cela se retrouver en l’autre avoir des affinités avec un ou une autre et se retrouver sans jamais se télescoper….tout va a peu près Didier les temps sont durs…