Derrière chaque photo, par-delà le plaisir et la joie, il y a la peur, peur du temps qui passe, de sa fugacité, peur de voir puis ne plus voir, vivre puis ne plus vivre, avoir vécu et n’en avoir nulle trace démonstrative, nul souvenir tangible ; derrière chaque photo, il y a la peur de mourir, et la preuve de notre mort.
Laurent Graff
bien négatif tout cela je pense de nouveau à Ronsard vivez vivez si….bonne journée Didier et cessez d’être tourmenté:)