Ainsi, la douleur, le plus constant de nos sentiments, ne serait vive qu’à sa première irruption ; et ses autres atteintes iraient en s’affaiblissant, soit par notre accoutumance à ses crises, soit par une loi de notre nature qui, pour se maintenir vivante, oppose à cette force destructive une force égale mais inerte, prise dans les calculs de l’égoïsme.
Honoré de Balzac
Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots »,(Alfred De Musset(le pélican) que je peux réciter par coeur tant les symboles sont merveilleux.Bon weekend Didier.