C’est le ciel qui donne sa couleur à la mer. Le fond aussi, dans une moindre mesure. Ce qu’il y a au-dessus et ce qu’il y a en dessous. Prise entre ces deux éléments sans lesquels elle ne serait qu’une vaste étendue transparente. Invisible. De l’eau. On y plonge le regard, il passe à travers. Rien ne le retient.
Peut-être en est-il de même pour certains êtres.
Peut-être en est-il de même pour certains êtres.
Marcus Malte