Cette maladie de la jeunesse romantique qui manie le désespoir avec l’inconscience du génie, nous montre la grande parenté de la poésie et de la mort, du travail au plus profond de soi, au coeur du sacrifice. L’articulation intime des sentiments premiers et de l’identité se cache au fond des mots et seule la poésie pénètre autant à l’âme. Certains appelleraient folie ce que l’on nomme poésie, quand l’idée est vécue en place de la vie et comme un trait de plume.
Philippe Brenot