Il suffit de comprendre l’utilité d’écrire. Comme il est facile de papoter, de palabrer, de s’emporter, de fulminer, de se gausser des autres. On passe trop d’heures à bavarder tandis que d’autres sont confinés dans une terrible solitude. Au fond, c’est du pareil au même ! Les uns comme les autres, nous oublions le plaisir d’écrire.
Le plaisir viendra après avoir écrit une centaine de pages. Il va s’infiltrer dans la rédaction de vos souvenirs. Quant à l’utilité ! La transmission de la mémoire, le témoignage d’une vie participent au progrès intérieur. Cessez d’être spectateurs ! Cessez d’être des automates happés par une culture en déliquescence !
Didier