Finir un livre, c’est comme accoucher d’un enfant. On est à la fois heureux et vaseux et puis après il faut l’élever, c’est à dire en faire la promotion et subir les critiques : « ah ! mais vous auriez dû …moi si j’avais été vous …mon beau-frère a aussi écrit un livre qui parle de … bla bla… »
Finir un livre, c’est comme accoucher d’un enfant. On est à la fois heureux et vaseux et puis après il faut l’élever, c’est à dire en faire la promotion et subir les critiques : « ah ! mais vous auriez dû …moi si j’avais été vous …mon beau-frère a aussi écrit un livre qui parle de … bla bla… »