Je continuerais à l’aimer

Même quand elle aurait quatre-vingt-dix ans, je continuerais à l’aimer, comme la femme du poème de Yeats: “Quand tu seras vieille, grise et ensommeillée , Hochant la tête au coin du feu, prends ce livre, Lis lentement, et rêve au doux regard qu’avaient Jadis tes yeux, et à leurs orbites creuses ; Combien ont aimé…Continue reading Je continuerais à l’aimer