Le bonheur ne se provoque pas. Il se rencontre tout au plus. Quelquefois. » … »Parce qu’il n’y a pas de conscience du bonheur. D’appréhension claire et lucide de ce qu’il est. Il nous traverse par instants, déjouant notre vigilance, rebelle à la raison qui voudrait le capter, glissant dans notre ciel mental comme ces étoiles filantes trop brèves qui déchirent les nuits d’été. »
Jean-Philippe Arrou-Vignod