J’embrasse ses larmes quand elle pleure, elle me sourit quand j’ai peur. Il est là notre équilibre. Elle est mon équilibre. Fleur Hana
Année : 2018
Spectacle BilletReduc.com / Didier Celiset dans Double appel !
https://youtu.be/h9zKyfnZIT0
Vivre
Les gens compliquent tout pour avoir l’impression de vivre. Patrick Rambaud
L’amour
Pour rencontrer l’amour, il faut chercher la solitude. David Foenkinos
L’impossible, le possible
L’impossible est négociable, le possible est malléable. David Mitchell
Artiste
Artiste Elle répète ce mot Sans être réellement capable de le définir Peu importe. Les mots n’ont pas toujours besoin d’une destination On les laisse s’arrêter aux frontières des sensations Errant sans tête dans l’espace du trouble Et c’est bien là le privilège des artistes : vivre dans la confusion. David Foenkinos
L’amour
Dans ma vie instable, j’ai connu l’amour et la perte. La perte, au-delà de ce que je pensais pouvoir supporter. L’amour, lui était inattendu. J’ai failli passer à côté, tellement j’en avais peur. L’amour m’a aidée à vivre pleinement, au lieu de simplement survivre. Il a renforcé ma détermination et m’a prouvé que j’étais bien…Continue reading L’amour
Interview exclusive de Didier Celiset par Olivier Kauf journaliste
Notre-Siècle Interview exclusive de Didier Celiset (auteur et acteur) par Olivier Kauf journaliste Directeur de la publication – Notre-Siecle Didier Celiset, qui êtes-vous ? Au fait, est-ce votre vrai nom, ou un nom de scène ? C’est mon vrai nom. J’ai écrit des dizaines de chansons, publié une quinzaine de romans, co-écrit quatre spectacles pour…Continue reading Interview exclusive de Didier Celiset par Olivier Kauf journaliste
La douleur
J’ai de plus en plus d’amis de l’autre côté (mort), à tel point que je pourrai m’y sentir moins dépaysé que de côté-ci, et je n’ai donc pas peur de la mort. Pourvu seulement que la douleur ne soit pas trop intense ! Kenzaburo Oé
La rue
C’est comme si la rue n’allait jamais se calmer. Le défilé des gens me fait penser à celui des gouttes d’eau sur la vitre des trains. Il pleut des humains dans cette ville : une averse continue, drue, sans éclaircie. Éric Pessan