Quand on marche, le temps passe plus lentement. La culture de l’immédiateté et de l’ultra-réactivité dans laquelle on baigne nous amène à n’être plus présent à rien.
En marchant, on se replonge dans le temps de la nature, de l’univers, du cosmos. Le temps de la vie. On se reconnecte à soi-même.
Laurent Gounelle