Oh ! oui ! combien d’heures se sont écoulées dans ma vie, longues et monotones, à penser, à douter ! Combien de journées d’hiver, la tête baissée devant mes tisons blanchis aux pâles reflets du soleil couchant, combien de soirées d’été, par les champs, au crépuscule, à regarder les nuages s’enfuir et se déployer, les…Continue reading Comme mon enfance fut rêveuse !