L’art de tenir debout, de maintenir le cap suppose précisément un horizon plus heureux vers lequel se diriger. Ce qui mine cette progression, ce n’est pas la souffrance, ni l’échec, mais le désespoir. cesser d’espérer, c’est s’avouer vaincu sans même relever le défi, c’est rendre vain chacun de nos efforts. La formation de la personnalité exige, comme singulier point de départ, un dépouillement radical : se (re)connaître vulnérable, perfectible, prendre conscience d’évoluer en terres incertaines, essayer de savoir pourquoi l’on combat.. joyeusement.
Alexandre Jollien
bonsoir mon cher Didier je suis totalement d’accord avec cette parution…La vie est une épreuve et non pas toujours un bonheur à porter de nos nos mains …il est comme le ciel bleu, gris ou noir nos chemins changent rien n’est statique….vivre pour que vive la vie!