Dans ce monde où l’insensé est seul au gouvernail, les belles résistances des écrivains sont indispensables. L’écriture serait-elle le dernier territoire de lucidité ?
Didier Celiset
Dans ce monde où l’insensé est seul au gouvernail, les belles résistances des écrivains sont indispensables. L’écriture serait-elle le dernier territoire de lucidité ?
Didier Celiset