J’avais compris que ma force n’était pas de désirer être ce que je n’étais pas, mais d’accepter ce que j’étais. Ma force, c’était ma pauvreté, mon métier, ma maman, ma vilaine maison, mes vêtements modestes, mon humble origine, mes malheurs et, plus intimement, le sentiment qui me faisait accepter toutes ces choses, profondément enfoncé dans mon âme comme une pierre précieuse dans la terre.
Alberto Moravia
certes,il faut aimer ce que l’on a, et même être fier d’être heureux ainsi.