Bonjour Didier,
Vos « mariages atypiques », je n’ai pas votre plume, donc, vos associations inattendues de notions (de qualités, de sentiments) m’ont particulièrement touchée. Pour le mental et la réussite, je pense qu’il y en a de deux sortes: la réussite en elle-même est réussite (le mental et les opportunités, etc font toute la différence) mais il y en a une deuxième où la réussite ne compte pas du tout. C’est l’objet de la passion, le but, qui est important … je pense à Brel qui avait un trac pas possible avant d’entrer en scène, par exemple. Lorsqu’il a compris comment faire « vibrer les foules » sans trac, il a arrêté car il perdait en même temps son talent. (j’espère que c’est Brel. Je fais remonter à la surface de très vieux souvenirs). Le but de Brel n’était pas la notoriété, le soulèvement des foules, etc. Il DEVAIT chanter. Mais pour d’autres raisons. Son nom est resté plus que beaucoup d’autres noms. Idem, au cinéma (Film commerciaux et films d’auteurs)
Que voulons-nous faire passer, que devons-nous apporter ? Souvent ce n’est même pas une question de volonté mais de « tripes ».
Béréenne attitude