Dîner avec ma muse

Je ne quitte pas ses yeux et sa bouche. Quel égoïste je suis ! Je puise mon énergie dans les espaces profonds de ses yeux et sur ses lèvres je trouve mon envol pour atterrir sur un champ de fragilité dans les vallées de son âme. Didier

Larmes

Hier, elle a pleuré. C’est troublant d’imaginer les larmes d’une muse. Elle a pleuré pour un de ces petits malentendus accouplés au dérisoire. Elle a pleuré pour ce piètre écrivain qu’elle voit comme un poète. J’écrivais. Ma muse frôlait les mots avec ses larmes, sa peau, ses frissons… Didier 

Sur sa peau

Lorsque mes lèvres se promènent sur sa peau, je sens les mots venir…les mots tombent sur le papier comme des gouttes d’espoir simplement parce que j’ai goûté aux parfums de sa peau, empruntant ces petits chemins si doux que mes lèvres dessinent sur sa peau… Didier

Ma muse

Ma muse a atterri dans ma solitude, un jour de grisaille…Avec sa bouche dessinée pour être ardemment embrassée, avec son regard comme un territoire de feu, de tempêtes, de larmes, de tristesse, avec son âme et ses fragments de souffrances, ses perles, ses volcans, ses oasis, ses sources de tendresse, elle m’a donné l’énergie pour écrire mon nouveau roman. Didier