L’amour c’est regarder la lumière changer sur le visage de l’autre. Bernard Giraudeau
Mois : août 2017
La poésie
La poésie est mémoire, mémoire de l’intensité perdue. Yves Bonnefoy
Sa mémoire
La maison – probablement intacte – mais non pas sa voix, disparue, qui flotte vers des confins de mémoire. C’est ce qui persiste de quelqu’un, pour quelque temps : le souvenir d’une inflexion, des mots prononcés sans propos particulier, et qui demeurent – « il a dit », « je l’ai entendu dire », etc…tant…Continue reading Sa mémoire
Les rêves
Mais c’est çà les rêves : parfois ils vous permettent de rester debout… Melody Grace
L’amour
L’amour, après tout, n’est qu’une curiosité supérieure, un appétit de l’inconnu qui vous pousse dans l’orage, poitrine ouverte et tête en avant. Madeleine Chapsal
Le soleil se lève
Le soleil émerge de la mer. La surface de l’océan est rouge acajou. Le ciel violet foncé. Les deux couleurs s’illuminent, si lentement que nous ne le percevons pas, mais nous sentons combien notre esprit devient de plus en plus clair à chaque minute, jusqu’à ce qu’il nous abandonne, aspiré par un rayon qui s’est…Continue reading Le soleil se lève
Les matins difficiles de l’écrivaine
Originally posted on Roberte colonel… MES LIVRES et MES MOTS: Parfois, il y a des matins difficiles, des matins qui annoncent des écrits arides qu’elle ne pourra contourner, parce que le travail le demande. Et parfois, elle fait la tête la, sans s’en rendre compte, parce que le passage que l’écrivaine veut écrire est ardu,… via…Continue reading Les matins difficiles de l’écrivaine
Le prix des mots
Tu ne connais pas le prix des mots. Même les plus pauvres sont riches de sens. Le plus fruste des hommes avec trois fois rien peut expliquer les embarras de sa vie.Tandis que le silence…hein, le silence, on y entend le pire. Christine Orban
La rancune
La rancune a ce côté légitime et obtus. Didier Celiset
L’amour
L’amour, c’est généreux, calme et détendu. Quelquefois cela dure, et quelquefois cela passe, mais au fond cela n’est jamais aussi grave qu’on le pense et il est très prétentieux de vouloir enfermer un homme et une femme dans un sentiment éternel. Louise Maheux-Forcier